J'ai écris ce texte alors que je me faisais chier comme un rat mort dans ma chambre. J'ai pris un briquet et j'ai commencé à brûler un crayon. Et puis, j'ai écris un texte là-dessus. Les écris reste mais pas l'outil... Ce texte illustre, de mon point de vue, une des meilleures composition d'Arkham.
Le crayon a brûlé
Il s'est embrasé
Il ne pourra plus servir
Il ne pourra plus écrire
Lumière
Le crayon commence à gonfler il faut le rallumer
Il doit tout se consumer il ne pourra plus parler
Il continue a se consumer continue à délirer
Brûlant le passé comme le crayon brûlé
La chandelle du samedi soir emporte avec elle le passé
Elle va le dépasser et toutes ses phrases aléatoires
Criant son désarroi mystérieusement unique
Rien à faire dans ce cirque d'idées vicieuses et techniques
Il se fait tard et le temps ne trouve pas sa fin
Il est partit pour un autre univers
Vers un jeu d'ombres des mains tracent des difformités dansantes
Qui passent de couloirs en couloirs pour s'oublier dans la flamme
Pour circuler et visualiser tous ces dômes de pierres qui se profilent à l'horizon
Et qui cherchent à dévisager ces misérables fourmis
Qui cherchent à rentrer dans cet égout rempli de truands
Remplis de truands remplis de truands
Crayon tout brûlé qui avait même réchauffé
Dans l'eau il a plongé flamme partie en fumée
Le crayon était beau enfumant l'esprit cendré
D'un souvenir idiot tout est parti en fumée
Fumée esprit cendré truands
Il s'est embrasé
Il ne pourra plus servir
Il ne pourra plus écrire
Lumière
Le crayon commence à gonfler il faut le rallumer
Il doit tout se consumer il ne pourra plus parler
Il continue a se consumer continue à délirer
Brûlant le passé comme le crayon brûlé
La chandelle du samedi soir emporte avec elle le passé
Elle va le dépasser et toutes ses phrases aléatoires
Criant son désarroi mystérieusement unique
Rien à faire dans ce cirque d'idées vicieuses et techniques
Il se fait tard et le temps ne trouve pas sa fin
Il est partit pour un autre univers
Vers un jeu d'ombres des mains tracent des difformités dansantes
Qui passent de couloirs en couloirs pour s'oublier dans la flamme
Pour circuler et visualiser tous ces dômes de pierres qui se profilent à l'horizon
Et qui cherchent à dévisager ces misérables fourmis
Qui cherchent à rentrer dans cet égout rempli de truands
Remplis de truands remplis de truands
Crayon tout brûlé qui avait même réchauffé
Dans l'eau il a plongé flamme partie en fumée
Le crayon était beau enfumant l'esprit cendré
D'un souvenir idiot tout est parti en fumée
Fumée esprit cendré truands
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