Avec cette compo, D.Majiria rentre dans sa dernière période avec une volonté de faire des titres plus accessibles pour un public plus large. Déjà amorcé avec Partons loin, qui reste un peu exceptionel à plus d'un titre, elle se concrétise avec Destins croisés. L’histoire racontée ici est celle d'un couple qui se croise et se recroise sans oser s'aborder. J'imaginais bien l'action dans le Carré à Liège.
Ils se sont croisés à l'angle d'une rue d'un quartier chaud
Ils se sont croisés d'un regard et sans dire un mot
Sans même se retourner ils ont continué
De leur destins croisés un souvenir imprimé
Ils ont gardé l'espoir de pouvoir se revoir
Sans même s'apercevoir qu'ils comptent sur le hasard
Il ressent sa peau
Ils en rêvent même un peu trop
Elle ressent sa peau
Un souvenir sans un mot
Ils se sont recroisés médusés et sans dire un mot
Et ils se sont frôlés se sont rapprochés un peu trop
Un signe du destin est-ce sans lendemain
Puis se chercher en vain du soir jusqu'au matin
Toute la nuit arpenter les rues de ce quartier
Et ne faire qu'espérer enfin se retrouver
Il ressent sa peau
Ils en rêvent même un peu trop
Elle ressent sa peau
Un souvenir sans un mot
Ils se retrouvent enfin
Il ressent sa peau
Ils en rêvent même un peu trop
Elle ressent sa peau
Un souvenir sans un mot
Ils se sont parlés
Ils en rêvent même un peu trop un peu trop
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